Hey !
Je suis raaaavie de vous retrouver aujourd'hui sur le blog pour ma chronique concernant le magnifique, le splendide, l'extraordinaire Phobos 3. Mais avant de connaître mon avis plus en détails (même si vous vous doutez de ce que je vais dire haha), voici la petite fiche descriptive :
Titre : Phobos
Auteur : Victor Dixen
Nombre de pages : 624 pages
Prix : 18.90 euros
Date de parution : 24 novembre 2016
Maison d'édition : Robert Laffont (dans la collection R)
(Pas de résumé pour aujourd'hui : étant donné qu'il s'agit d'un troisième tome, je ne voudrais surtout pas vous spoiler)
La question que je me pose en ce moment-même est : comment vais-je bien pouvoir chroniquer un bijou pareil ? Car oui, Phobos est un bijou, un diamant brut, une perle rare et Victor Dixen est un magicien des mots, un virtuose des phrases, un génie (non sans un brin de sadisme !), le talent à l'état pur. Comme vous le savez certainement, car je vous le rabâche depuis maintenant bientôt 2 semaines, le tome 3 de Phobos a été un coup de cœur monumental, intergalactique et, après réflexion, il me semble bien qu'il s'agit du meilleur livre que je n'ai jamais lu de ma vie. Bien qu'il soit déjà un bon gros pavé de 600 pages, j'aurais aimé que ce livre ne s’arrête jamais... Entre révélations fracassantes tout au long du roman, de l'action en-veux-tu-en-voilà, du suspense, une tension insoutenable, de l'amour, des passages d'une tristesse inouïe, d'autres qui te remplissent le cœur de joie, d'espoir et de bonheur, Victor Dixen n'épargne vraiment pas notre petit cœur ! C'est bien simple : on a à peine le temps de digérer une bombe que vient de lancer Victor Dixen qu'une autre révélation nous attend au tournant, celle-ci encore plus dévastatrice et fracassante ! J'ai également adoré retrouver certaines situations qui nous renvoient à notre société et au monde d'aujourd'hui (je n'en dis pas plus car ce serait vous spoiler mais ceux qui l'ont lu savent de quoi je parle, du moins j'espère !) : ça m'a vraiment fait réfléchir et je remercie Victor Dixen d'avoir su aborder ce thème si délicat avec tant de tact et de génie. Petite mention spéciale aux références à Phobos Origines, comme s'il s'agissait d'une chaîne cryptée pour laquelle il faut s'abonner : même moi qui ai déjà lu Phobos Origines, ça m'a donné une envie folle de le relire haha. Pour parler des personnages, j'ai encore une fois adoré le personnage de Léonor, sa force et son courage dans toutes situations : même si l'on sent parfois qu'elle doute et qu'elle a peur, elle reste forte et je l'admire énormément pour ça. Alexei m'a énervé au plus haut point : le fait qu'il joue le petit chef en permanence m'a clairement agacé ! Et évidemment, j'ai détesté Serena McBee plus que jamais : si j'avais pu rentrer dans ce livre pour étrangler et faire souffrir cette vieille chouette, je l'aurais fait avec un plaisir non dissimulé ! ;) Et Marcus, aaaaah Marcus (*soupir*), je crois que si je pouvais l'épouser, je le ferais dans la seconde, peu importe ce qu'il a fait ou pas fait ! Et évidemment, Phobos est toujours aussi addictif : bien qu'il fasse plus de 600 pages, je l'ai fini en moins de 3 jours tant j'étais subjuguée et fascinée par cette sublime histoire. Parlons maintenant de la fin : MON DIEU CETTE FIN ! Elle est d'une beauté telle que, lorsque j'ai tourné la dernière page, j'avais la nette impression d'un trou béant dans ma poitrine : je me sentais vidée, choquée, triste et heureuse à la fois : bref, complètement déboussolée ! Je résumerais tout ce que je viens de dire jusqu'à maintenant en une phrase : ce livre m'a détruite.
Pour vous donner une image qui colle parfaitement à ce que j'ai ressenti en lisant le tome 3 de Phobos, Victor Dixen m'a arraché le cœur de la poitrine, a joué avec, l'a piétiné, l'a brisé, l'a jeté à la poubelle puis a recommencé encore et encore, même bien après que j'aie tourné la dernière page !
Je suis raaaavie de vous retrouver aujourd'hui sur le blog pour ma chronique concernant le magnifique, le splendide, l'extraordinaire Phobos 3. Mais avant de connaître mon avis plus en détails (même si vous vous doutez de ce que je vais dire haha), voici la petite fiche descriptive :
Titre : Phobos
Auteur : Victor Dixen
Nombre de pages : 624 pages
Prix : 18.90 euros
Date de parution : 24 novembre 2016
(Pas de résumé pour aujourd'hui : étant donné qu'il s'agit d'un troisième tome, je ne voudrais surtout pas vous spoiler)
MON AVIS
La question que je me pose en ce moment-même est : comment vais-je bien pouvoir chroniquer un bijou pareil ? Car oui, Phobos est un bijou, un diamant brut, une perle rare et Victor Dixen est un magicien des mots, un virtuose des phrases, un génie (non sans un brin de sadisme !), le talent à l'état pur. Comme vous le savez certainement, car je vous le rabâche depuis maintenant bientôt 2 semaines, le tome 3 de Phobos a été un coup de cœur monumental, intergalactique et, après réflexion, il me semble bien qu'il s'agit du meilleur livre que je n'ai jamais lu de ma vie. Bien qu'il soit déjà un bon gros pavé de 600 pages, j'aurais aimé que ce livre ne s’arrête jamais... Entre révélations fracassantes tout au long du roman, de l'action en-veux-tu-en-voilà, du suspense, une tension insoutenable, de l'amour, des passages d'une tristesse inouïe, d'autres qui te remplissent le cœur de joie, d'espoir et de bonheur, Victor Dixen n'épargne vraiment pas notre petit cœur ! C'est bien simple : on a à peine le temps de digérer une bombe que vient de lancer Victor Dixen qu'une autre révélation nous attend au tournant, celle-ci encore plus dévastatrice et fracassante ! J'ai également adoré retrouver certaines situations qui nous renvoient à notre société et au monde d'aujourd'hui (je n'en dis pas plus car ce serait vous spoiler mais ceux qui l'ont lu savent de quoi je parle, du moins j'espère !) : ça m'a vraiment fait réfléchir et je remercie Victor Dixen d'avoir su aborder ce thème si délicat avec tant de tact et de génie. Petite mention spéciale aux références à Phobos Origines, comme s'il s'agissait d'une chaîne cryptée pour laquelle il faut s'abonner : même moi qui ai déjà lu Phobos Origines, ça m'a donné une envie folle de le relire haha. Pour parler des personnages, j'ai encore une fois adoré le personnage de Léonor, sa force et son courage dans toutes situations : même si l'on sent parfois qu'elle doute et qu'elle a peur, elle reste forte et je l'admire énormément pour ça. Alexei m'a énervé au plus haut point : le fait qu'il joue le petit chef en permanence m'a clairement agacé ! Et évidemment, j'ai détesté Serena McBee plus que jamais : si j'avais pu rentrer dans ce livre pour étrangler et faire souffrir cette vieille chouette, je l'aurais fait avec un plaisir non dissimulé ! ;) Et Marcus, aaaaah Marcus (*soupir*), je crois que si je pouvais l'épouser, je le ferais dans la seconde, peu importe ce qu'il a fait ou pas fait ! Et évidemment, Phobos est toujours aussi addictif : bien qu'il fasse plus de 600 pages, je l'ai fini en moins de 3 jours tant j'étais subjuguée et fascinée par cette sublime histoire. Parlons maintenant de la fin : MON DIEU CETTE FIN ! Elle est d'une beauté telle que, lorsque j'ai tourné la dernière page, j'avais la nette impression d'un trou béant dans ma poitrine : je me sentais vidée, choquée, triste et heureuse à la fois : bref, complètement déboussolée ! Je résumerais tout ce que je viens de dire jusqu'à maintenant en une phrase : ce livre m'a détruite.
EN BREF
Pour vous donner une image qui colle parfaitement à ce que j'ai ressenti en lisant le tome 3 de Phobos, Victor Dixen m'a arraché le cœur de la poitrine, a joué avec, l'a piétiné, l'a brisé, l'a jeté à la poubelle puis a recommencé encore et encore, même bien après que j'aie tourné la dernière page !
A PROPOS DE L'AUTEUR
Victor Dixen
Et voilà, cet article est maintenant terminé ! J'espère, comme d'habitude, de tout mon petit cœur de blogueuse qu'il vous aura plu. Mais surtout, j'espère que je vous ai donné envie de lire cette saga car elle mérite que toutes les personnes de cette terre la lisent tant elle est géniale ! ^^
Bref, sur ce, je vous fais tout plein de bisous et vous dis à très bientôt pour un nouvel article,
Pretty Little Lectrice
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